Ecrire, bien sûr une histoire (poème, chanson, dialogue, et tutti quanti) où le personnage se dirige en huit différentes étapes, vers la source d’une forte odeur. Cette histoire devra intégrer les quatre cartes sorties d’un jeu de carte mexicaine et d’un tiroir . Voilà tout : un personnage, quatre cartes, huit étapes et une odeur. Forte.
……. et déposer le résultat chez VictorHugotte 😉
Pour l’occasion, Onésime reprend du service, il s’impatientait dans mon ordi !
Onésime était persuadé de ses origines mexicaines. Il ne savait pas pourquoi, sa mémé ayant farouchement nié une tranche de sa vie pourtant confirmée par une photo d’elle dans les bras d’un fringant mariachi, trouvée dans un tiroir. Le message au dos de la photo ne laissait pourtant nulle part au doute : « Para ti, amor de mi vida – tu Antonio – julio 1937 ».
Bonjour Hélène,
Onésime est très prudent, en effet. Mais pourquoi avoir suivi un camion poubelle? Est-ce bien raisonnable?
J’adore ton texte humoristique parsemé de mots espagnols!
Bises,
Monique
Merci Mo, il ne savait pas ce qu’il suivait Onésime, mais il cherchait une explication. Peut-être naïvement s’était-il dit qu’en décelant l’origine de ces odeurs il pourrait les anéantir……….. n’oublions pas que c’est après avoir tourné dans la rue des Magnolias qu’il a vu le camion 😉 Bisous – Hélène
Il n’y a pas à dire : c’est un persévérant l’Onésime ! Aller jusqu’à sortir un costume qui sent la naphtaline pour se rendre dans un lieu bien précis il faut oser.
Toujours est-il qu’il a franchi plusieurs dangers pour parvenir à ses fins. Mais tout de même, être convaincu qu’il est mexicain alors que ce mariachi fut sans doute juste un amant de passage de sa mémé…
Sa persévérance est bien mal récompensée puisqu’il se retrouve derrière un camion -ordures. Il n’empêche qu’au final, il finit par trouver son magasin : il est certain qu’il trouvera son masque mais le dit masque ressemblera-t-il à celui que porte les mexicains ? Peu importe : il peut aller chez un pharmacien car chez nous, un masque es est très à la mode : un beau masque léger bleu et blanc très élégant.
Son masque à lui est tellement plus coloré ! merci Yann pour tes passages et commentaires détaillés qui sont le témoin de ton assiduité sur mes textes.
Entre le costume et le camion des éboueurs les déambulations d’Onésime sont fortement odorantes ! On aurait pu rêver que la rue des magnolias disperse tout ça ! 😉
Sympathique comme toujours de suivre Onésime au fil de l’agenda !
Olà, sacrado Onésimo ! i prudento tambien : il finit sa promenade trempé, naphtaliné, éventé, mais masqué !!!
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il suit l’actu Onésime 😉
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Entre naphtaline et poisson pourri, je ne sais pas ce que je préfère 😉
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heuuuuuu, franchement, le poisson pourri c’est quand même beurk de chez beurk ! après tout est une question de goût 😀 Merci du passage Alma
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J’aime beaucoup ta façon d’écrire et tes textes sont toujours plein d’humour 😊
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merci Alex ! le but est de sourire de temps en temps. Onésime, lui, c’est un gentil, il n’est pas là pour nous donner des angoisses 🙂
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Bonjour Hélène,
Onésime est très prudent, en effet. Mais pourquoi avoir suivi un camion poubelle? Est-ce bien raisonnable?
J’adore ton texte humoristique parsemé de mots espagnols!
Bises,
Monique
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Merci Mo, il ne savait pas ce qu’il suivait Onésime, mais il cherchait une explication. Peut-être naïvement s’était-il dit qu’en décelant l’origine de ces odeurs il pourrait les anéantir……….. n’oublions pas que c’est après avoir tourné dans la rue des Magnolias qu’il a vu le camion 😉 Bisous – Hélène
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Il n’y a pas à dire : c’est un persévérant l’Onésime ! Aller jusqu’à sortir un costume qui sent la naphtaline pour se rendre dans un lieu bien précis il faut oser.
Toujours est-il qu’il a franchi plusieurs dangers pour parvenir à ses fins. Mais tout de même, être convaincu qu’il est mexicain alors que ce mariachi fut sans doute juste un amant de passage de sa mémé…
Sa persévérance est bien mal récompensée puisqu’il se retrouve derrière un camion -ordures. Il n’empêche qu’au final, il finit par trouver son magasin : il est certain qu’il trouvera son masque mais le dit masque ressemblera-t-il à celui que porte les mexicains ? Peu importe : il peut aller chez un pharmacien car chez nous, un masque es est très à la mode : un beau masque léger bleu et blanc très élégant.
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Son masque à lui est tellement plus coloré ! merci Yann pour tes passages et commentaires détaillés qui sont le témoin de ton assiduité sur mes textes.
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Je l’aime ton Onésime dans les aventures que tu lui offres avec ta poésie….
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Il aime aussi vous retrouver tous…… bisous Jany
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Encore une belle aventure d’Onésime !
Merci Gibulène.
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mais de rien, merci pour lui
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c’eût été ballot 😀
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Entre le costume et le camion des éboueurs les déambulations d’Onésime sont fortement odorantes ! On aurait pu rêver que la rue des magnolias disperse tout ça ! 😉
Sympathique comme toujours de suivre Onésime au fil de l’agenda !
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il fait ce qu’il peut le pauvre mais il aurait peut-être préféré le jasmin ! il a bien du courage de me supporter 😀
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J’aime bien Onésime au Mexique, prudent et coquin !
Merci Gibulène de cette légèreté
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ça fait du bien un peu de douceur 😉 merci à toi
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Carrément … vive la douceur … Belle soirée à toi Gibulène
Hasta siempre amiga!
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acias Véro, besitos y hasta siempre, tenemos tiempo para escribir ❤
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Claro que si …
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